Emménagement...

Le grincement à peine audible de la porte accompagna parfaitement la découverte du lieu.Une pièce sombre et calme, en suspention dans le temps, où aucun être ne semblait y avoir pénétrer. Seule les trois fenêtres, Feutraient avec dépaix rideau pourpre, laissait passer les doux rayons de l'astre tant aimer de la jeune fille.
Après avoir allumer les quelques chandeliers noirs ,ouvragés dans la splendeur de l'art Baroque, elle put découvrir toute l'étendue de la beautée de sa nouvelle chambre.

C'était sa chambre privée. Du moins, que pour le moment, car, bien sur tant de luxe devait se partagé. Elle s'assit sur le lit le plus à droite, identique aux autres en tout point: Une couche offrant deux place encadré d'un bois d'eben ou repose des baldaquins de soies noirs. Les drap, eux aussi étaient somptueux tous de soies pourpre et d'autres blanc. Le même assortis convenaient aux grand nombres d'oreillers moelleux. Maärley, un sourir se dessinant aux lèvres, admirait de son lit la lune dans l'encadrure de la fenêtre lui faisant face. Après quelques minutes de contemplation elle détourna son regard afin d'admirer le contenue de la piece et... quel bonheur!! Elle se précipita sur le magnifique piano à queue noir qui, dès le contact de ses doigh émis un son si mélodieu qu'elle ne put empécher quelque éclat de rire. Cet instrument si cher à son coeur était une des chose dont elle avait était privée, à sont grand malheure, plusieurs fois pendant ses nombreuses années de fuite. Derrière le piano, à quelques mètre seulement se trouvais un dressing imaculé donnant sur une porte d'eben. En la poussant la jeune fille découvrit une salle de bain blance ou seule le noir des bougis contrasté. Une immense baignoir etait le centre de la pièce, dans l'angle on pouvait voir deux douches séparées et, de l'autres cotés, deux lavabots posé sous la fenètre.Tout un mur était orné de miroir ce qui donnait à la pièce un aspect d'Infinis.

Après s'ètre rafraichis elle se changea, enfila une nuisette blanche et se lova dans son doux cocon. PLus rien ne pouvais l'atteindre alors qu'elle sombrai voluptueusement dans les bras acceuillant de Morphée, plus rien ne l'inquiétait, ni le fait de sa condition, ni la peur de remordre à nouveau.